Le cœur du conflit au Proche-Orient Tout le monde
Le cœur du conflit au Proche-Orient
Tout le monde le sait, aujourd’hui l’actualité devient de plus en plus chargée et on a tendance à minimiser les tueries israéliennes en Palestine, mais pas les ripostes palestiniennes que l’on nomme terrorisme. Pourquoi ? On ne peut pas, quand on aborde ce sujet, évacuer une position de principe : cet Etat qui, en 1948, s’installe en Palestine est le résultat d’une entreprise coloniale et représente une profonde injustice, de principe et de fait. Toute solution passe par la reconnaissance de cette injustice. Sur cette base, on peut soit accepter l’existence de l’Etat israélien, soit comme certains le veulent encore, continuer à demander sa disparition. Cette dernière position n’est à mon sens, pas tenable. Le traitement auquel sont soumis les Palestiniens est injuste, inique, et il appartient à la communauté internationale de faire pression sur l’Etat d’Israël pour que cesse ce déni de droit caractérisé. La résistance politique aux visées expansionnistes des dirigeants israéliens doit continuer. La même attitude critique doit être maintenue face aux dérives autocratiques de l’Autorité palestinienne. On ne peut se satisfaire de la démocratie pour les Israéliens et de la dictature pour leurs voisins, même si l’Etat israélien a fait un grand pas en demandant une enquête sur la triste et affreuse mort de la jeune fille palestinienne de 13 ans il y a quelques jours encore.
Certaines personnes voient la planète comme une multinationale, ils y cherchent les bénéfices, et peu importe le prix à payer tant qu’ils ne seront pas directement affectés. Mais je ne dis pas non plus que tous les fous d’Allah sont des honnêtes hommes et qu’ils sont innocents ; je me permets de vous dire qu’ils ne représentent pas tous les musulmans ; aujourd’hui, nous sommes environ 1 200 000 000 de musulmans sur Terre et parmi eux on compte une centaine de terroristes.